"Dentre elas 2.680 pertencem a procedências majoritários(guiné, mina e angola) e 272 a outras procedências minoritárias distribuídas entre 120 benguelas, 70 “caboverdes”,21 33 congos, 26 ganguelas, nove massanganas, quatro monjolos, três embacas, dois couranas, dois rebolas, um da Ilha de São Lourenço, um quissamã, um loanda.
A contra-costa não faz parte da rota dos negreiros que abastecem o Brasil. Mesmo assim existem, segundo Antonil, “...alguns (escravos) de Moçambique, que vêm nas naus da Índia”.22
Entre os anos de 1720/1722, dezessete adultos da ilha de São Lourenço (antigo nome da ilha de Madagascar) são batizados na Sé. Neste período são também batizados dois adultos moçambiques. A concentração de dezenove batismos num período de três anos indica a escala
de uma embarcação vinda da contra-costa. Mostra ainda que, quando se trata de propietários
que batizam seus escravos, estes recebem o sacramento num espaço de tempo relativamente
curto. Dos dezessete escravos da ilha de São Lourenço quatro são batizados em 1720, onze em 1721 e apenas dois em 1722. Os dois moçambiques são batizados em 1720."
http://www.historia.uff.br/labhoi/modules/rmdp1/uploads/May07mzCeIm6__mina_angola_guine.pdf
viernes, 18 de enero de 2013
martes, 23 de noviembre de 2010
Le Moring, art de combat afro-malgache
Colloque « Expériences et mémoire : partager en français la diversité du monde »
Bucarest, septembre 2006
Le Moring, art de combat afro-malgache : Une mémoire interculturelle de l’esclavage dans les petites îles du sud-ouest de l’océan Indien occidental, Sudel FUMA, Université de La Réunion, CRESOI.
Le Moring, vecteur identitaire dans les Îles de l’océan Indien Dans les îles de l’océan Indien occidental, les systèmes de l’esclavage et de l’engagisme sont les principaux vecteurs de la propagation du Moring. Les témoignages historiques sur son expansion dans les petites îles permettent difficilement de dater avec précision les premières pratiques de Moring dans les petites îles. Toutefois, l’origine des populations esclaves transportées dans les îles – à dominante malgache au XVIIIe – ne laisse planer aucune ambiguïté sur sa présence avant l’abolition de l’esclavage à Bourbon. Nous pensons même que le Moring a été pratiqué à l’Île Maurice et aux Seychelles où il a complètement disparu aujourd’hui. Une danse guerrière qui reprend quelques techniques du Moring et qu’on appelle le « Tingue » existait autrefois aux Seychelles1. Le terme « Tingue » est lui-même à rapprocher du mot malgache « Ringa » qui signifie littéralement lutte ou combat. Le « Ringa », lutte traditionnelle malgache, se pratique dans le sud de Madagascar. Malgré la sévérité du système esclavagiste et l’interdiction des pratiques et coutumes représentant un danger pour l’ordre établi, la tradition des arts de combat a survécu dans la clandestinité des camps d’esclaves. Le Moring se pratiquait quand le maître et le personnel de surveillance des camps – régisseurs et commandeurs – étaient au repos. Les hommes de la plantation pouvaient alors se regrouper le soir ou en fin de semaine et retrouver – loin de la maison du maître – leur tradition favorite. Quels types de Moring étaient pratiqués ? Probablement les différentes variantes du Moring malgache et du mrengué de Mayotte qui fusionnent pour donner un Moring réunionnais. En effet, les esclaves du XVIIIe siècle ont des origines diverses : sakalava, betsimisaraka, antandroy, annosy, comoriens, africains… En se retrouvant loin de leur terre d’origine, partageant le même labeur, les mêmes souffrances de la déportation, ils ont recomposé des pratiques culturelles, cultuelles, intégrant les divers apports régionaux. La survie du Moring a été très difficile dans l’univers carcéral de l’esclavage car l’autorité coloniale s’opposait à toute expression identitaire des esclaves. Le colon ne pouvait pas tolérait une pratique de combat pouvant se révéler dangereuse pour la sécurité de son environnement. Il ne comprend pas la signification de telles pratiques et porte un regard négatif sur les pratiques guerrières des adeptes du Moring. Déjà en 1658, Flacourt avait observé les luttes malgaches dans la région de l’Annosy. « Il arrive assez souvent » dit-il « qu’ils se battent dans les villages mais à coups de poings et font le mitoulou qui est la lutte de tant d’hommes contre hommes que femmes contre femmes. Ce sont des gens de bas aloi qui s’y prêtent »2. Ce témoignage, l’un des plus anciens qui existe sur les pratiques de combat à Madagascar, montre que l’Européen qui arrive dans les îles ne voit dans la lutte « mitolona » qu’un règlement de compte entre les gens de condition sociale modeste.
http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf
Bucarest, septembre 2006
Le Moring, art de combat afro-malgache : Une mémoire interculturelle de l’esclavage dans les petites îles du sud-ouest de l’océan Indien occidental, Sudel FUMA, Université de La Réunion, CRESOI.
Le Moring, vecteur identitaire dans les Îles de l’océan Indien Dans les îles de l’océan Indien occidental, les systèmes de l’esclavage et de l’engagisme sont les principaux vecteurs de la propagation du Moring. Les témoignages historiques sur son expansion dans les petites îles permettent difficilement de dater avec précision les premières pratiques de Moring dans les petites îles. Toutefois, l’origine des populations esclaves transportées dans les îles – à dominante malgache au XVIIIe – ne laisse planer aucune ambiguïté sur sa présence avant l’abolition de l’esclavage à Bourbon. Nous pensons même que le Moring a été pratiqué à l’Île Maurice et aux Seychelles où il a complètement disparu aujourd’hui. Une danse guerrière qui reprend quelques techniques du Moring et qu’on appelle le « Tingue » existait autrefois aux Seychelles1. Le terme « Tingue » est lui-même à rapprocher du mot malgache « Ringa » qui signifie littéralement lutte ou combat. Le « Ringa », lutte traditionnelle malgache, se pratique dans le sud de Madagascar. Malgré la sévérité du système esclavagiste et l’interdiction des pratiques et coutumes représentant un danger pour l’ordre établi, la tradition des arts de combat a survécu dans la clandestinité des camps d’esclaves. Le Moring se pratiquait quand le maître et le personnel de surveillance des camps – régisseurs et commandeurs – étaient au repos. Les hommes de la plantation pouvaient alors se regrouper le soir ou en fin de semaine et retrouver – loin de la maison du maître – leur tradition favorite. Quels types de Moring étaient pratiqués ? Probablement les différentes variantes du Moring malgache et du mrengué de Mayotte qui fusionnent pour donner un Moring réunionnais. En effet, les esclaves du XVIIIe siècle ont des origines diverses : sakalava, betsimisaraka, antandroy, annosy, comoriens, africains… En se retrouvant loin de leur terre d’origine, partageant le même labeur, les mêmes souffrances de la déportation, ils ont recomposé des pratiques culturelles, cultuelles, intégrant les divers apports régionaux. La survie du Moring a été très difficile dans l’univers carcéral de l’esclavage car l’autorité coloniale s’opposait à toute expression identitaire des esclaves. Le colon ne pouvait pas tolérait une pratique de combat pouvant se révéler dangereuse pour la sécurité de son environnement. Il ne comprend pas la signification de telles pratiques et porte un regard négatif sur les pratiques guerrières des adeptes du Moring. Déjà en 1658, Flacourt avait observé les luttes malgaches dans la région de l’Annosy. « Il arrive assez souvent » dit-il « qu’ils se battent dans les villages mais à coups de poings et font le mitoulou qui est la lutte de tant d’hommes contre hommes que femmes contre femmes. Ce sont des gens de bas aloi qui s’y prêtent »2. Ce témoignage, l’un des plus anciens qui existe sur les pratiques de combat à Madagascar, montre que l’Européen qui arrive dans les îles ne voit dans la lutte « mitolona » qu’un règlement de compte entre les gens de condition sociale modeste.
http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf
martes, 1 de diciembre de 2009
bobre-berimbau-afro-malgache
dibujo:(bobre- berimbau) http://moraingy-malgache.blogspot.com/2009/09/bobre-berimbau-afro-malgache.html
MADAGASCAR:
Le soir des chants funèbres accompagnés par le bobre africain 1 préludèrent aux danses qui ne finirent qu’au jour : des choeurs de jeunes filles répétaient le refrain des chansons improvisées
pour l’événement, en frappant en mesure sur des bambous.
1 Cet instrument est simplement un long arc, fait d’une tige de bambou ou d’une gaule d’un autre bois ; la corde qui le tend est ordinairement en fil de fer ou en laiton ; vers le tiers inférieur de la longueur du bois, est attachée la moitié d’une calebasse, espèce de table d’harmonie qui reçoit les vibrations de la corde par un lien également en métal qui l’attire dans le sens de la calebasse. Le bobre se joue avec une petite baguette de bois ; on frappe alternativement sur l’une et l’autre sections de la corde. Le son en est très faible, en sorte que le rhythme paraît être le principal objet de cet instrument. Il est très répandu aux îles de France et de Bourbon. Il a été importé à Madagascar par les nombreux esclaves cafres et mozambiques que les Arabes y ont amenés.
FUENTE:[PDF]
Voyage à Madagascar et aux îles Comores - Tome I
MADAGASCAR:
Le soir des chants funèbres accompagnés par le bobre africain 1 préludèrent aux danses qui ne finirent qu’au jour : des choeurs de jeunes filles répétaient le refrain des chansons improvisées
pour l’événement, en frappant en mesure sur des bambous.
1 Cet instrument est simplement un long arc, fait d’une tige de bambou ou d’une gaule d’un autre bois ; la corde qui le tend est ordinairement en fil de fer ou en laiton ; vers le tiers inférieur de la longueur du bois, est attachée la moitié d’une calebasse, espèce de table d’harmonie qui reçoit les vibrations de la corde par un lien également en métal qui l’attire dans le sens de la calebasse. Le bobre se joue avec une petite baguette de bois ; on frappe alternativement sur l’une et l’autre sections de la corde. Le son en est très faible, en sorte que le rhythme paraît être le principal objet de cet instrument. Il est très répandu aux îles de France et de Bourbon. Il a été importé à Madagascar par les nombreux esclaves cafres et mozambiques que les Arabes y ont amenés.
FUENTE:[PDF]
Voyage à Madagascar et aux îles Comores - Tome I
viernes, 16 de octubre de 2009
Ringa malgache
Auteur / Exécutant
Cazeneuve Marius
Précision auteur
Toulouse, 1836 ; Toulouse, 1913
Ecole
France
Titre
Scène de vie à Madagascar
période de création / exécution
2e moitié 19e siècle ; 1er quart 20e siècle
fuente: http://www.culture.gouv.fr/Wave/image/joconde/eth/0019/m056789_003-00-119_p.jpg
lunes, 14 de septiembre de 2009
1936- Practica deportiva del Diamanga malgache
dibujo: Diamanga malgache
journal: 1936/01/29 (A3,N144).
CHRONIQUE SPORTIVE
par Drlbbllng •
LE REMORDS DU CHAMPION Avant l'occupation française, les Malgaches pratiquaient !e sport, mais à leur façon. 11 y avait plusieurs sortes de sport, tels le « balahazo », le « tolona », le « totohondry », le « vikina » et le « diamanga». C'est ce dernier qui fut le plus eu vogue. Il consiste à se don- ner des coups de pied entre les adversaires. Le « diamanga » se dispute ou entre deux joueurs seule- ment, ou entre deux groupes composés de plusieurs joueur.-. Chaque quartier dans ies villes et chaque village dans la campagne possèdent leurs champions. Et les rencontres entre champions constituent toujours des événements sensationnels pour les spectateurs qui vienuent quelquefois de loin pour assister aux combats exactement com- me il se passe de nos jours à Tanana- rive lors des matches de rugby entre les équipes championnes de la capi- tale.
formato original: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54276490.r=diamanga.langES
""Ringa" ou lutte malgache" (""Ringa" or Malagasy wrestling match"). In sakalava or bara tribes wrestling matches are usual.
""Ringa" ou lutte malgache" (""Ringa" or Malagasy wrestling match"). In sakalava or bara tribes wrestling matches are usual.
Title:
Malagasy wrestling match, Ringa, Morombe(?), Madagascar, 1927(?)
Record ID:
impa-m7863
Title:
Malagasy wrestling match, Ringa, Morombe(?), Madagascar, 1927(?)
Record ID:
impa-m7863
Ringa Malgache -año 1900
Ginga e Ringa?
Ginga Brasil é Ringa de Madagascar?. A questão merece estudo. Ringa é uma arte de combate aculturado no Madagascar envolvendo a cultura Malaya, e a Bantu -Swahili.En-Brasil, a letra "j" é prununcia "r". Meu nome é "Javier" e o son brasileiro e "Ravier." A arte dos malgaxes, Ringa ou Moringue foi para a Ilha de Reunião (Moraingue, Martinica (ladja ou Danmyé), Brasil (Capoeira Regional). O tambor aparece criolha em todos estes manifetaçoes corporais.http://saladepesquisacapoeira.blogspot.com/2008/10/capoeira-damb.htmlhttp://www.youtube.com/watch?v=BZxE__PDF6Mhttp://www.youtube.com/watch?v=jjK6nMsvI7Q&feature=relatedprocurar videos de Ringa,Moringue,Ladja:http://salavideofica.blogspot.com/VIDEO: Samba á Paulista:http://www.youtube.com/watch?gl=BR&hl=pt&v=vNJvlTvQ_bE
Ginga Brasil é Ringa de Madagascar?. A questão merece estudo. Ringa é uma arte de combate aculturado no Madagascar envolvendo a cultura Malaya, e a Bantu -Swahili.En-Brasil, a letra "j" é prununcia "r". Meu nome é "Javier" e o son brasileiro e "Ravier." A arte dos malgaxes, Ringa ou Moringue foi para a Ilha de Reunião (Moraingue, Martinica (ladja ou Danmyé), Brasil (Capoeira Regional). O tambor aparece criolha em todos estes manifetaçoes corporais.http://saladepesquisacapoeira.blogspot.com/2008/10/capoeira-damb.htmlhttp://www.youtube.com/watch?v=BZxE__PDF6Mhttp://www.youtube.com/watch?v=jjK6nMsvI7Q&feature=relatedprocurar videos de Ringa,Moringue,Ladja:http://salavideofica.blogspot.com/VIDEO: Samba á Paulista:http://www.youtube.com/watch?gl=BR&hl=pt&v=vNJvlTvQ_bE
Etiquetas:
1900-MADAGASCAR- Ringa o Moringy FOTO,
Ginga,
Ringa MALGACHE***
Diamanga,savate malgache
Diamanga(pag 206):Libro-Bible et pouvoir à Madagascar au XIXe siècle . http://books.google.es/books?id=tQdjO_Et0d0C
1856-MADAGASCAR-Vasayos de la Ramboasalama se baten con lucha DIAMANGA
Glossarie:Bible et pouvoir à Madagascar au XIXe siècle Escrito por Françoise Raison-Jourde http://books.google.es/books?id=tQdjO_Et0d0C&pg=PA827&dq=HISTORIA+SAVATE&lr=
Entrenamiento de Malgaches del Ejercito Frances en Egipto ,estilo de Boxeo,Savate o Diamanga Malgache
LIBRO: L'esclavage à Madagascar: aspects historiques et résurgences contemporaines : actes du Colloque international sur l'esclavage, Antananarivo (24-28 septembre 1996)
Escrito por Ignace Rakoto, Université d'Antananarivo. Musée d'art et d'archéologie, Projet Route de l'esclave
Publicado por Institut de civilisations, Musée d'art et d'archéologie, 1997. http://books.google.es/books?id=yQm5AAAAIAAJ&safe=on&pgis=1
Escrito por Ignace Rakoto, Université d'Antananarivo. Musée d'art et d'archéologie, Projet Route de l'esclave
Publicado por Institut de civilisations, Musée d'art et d'archéologie, 1997. http://books.google.es/books?id=yQm5AAAAIAAJ&safe=on&pgis=1
Abajo:Egipto:Pot Said-Fête au camp des tirailleurs malgaches : danse guerrière Nakimaukaratie (hommes). A l'arrière plan : stockage du gaz, usine .Arriba:Fête au camp des tirailleurs malgaches : danses guerrière d'Aukazou Droudry (hommes)1918- .autor:Winckelsen, Charles (code opérateur armée OS)
Diamanga,Arte marcial malgache(Origen Malaya)
Grabado:Diamanga malgache
1832-Pueblo Sakalava conquista la Isla Reunión
FOTO:Andriantsoly, le roi malgache qui vendit Mayotte à la France .http://www.malango-mayotte.com/histoire-andriantsoly.htm
La presencia de muchos descendientes de los colonos malgaches de origen Sakalava "después de la conquista de la isla por el Príncipe malgache Sakalava Andriantsoly que establece julio de 1832, con sus soldados y sus esclavos permite comprender l el desarrollo de mrengé en esta isla y otras islas, incluyendo Anjouan y Mohély donde se practica mucho en el siglo XIX .La presencia del Islam han sido un freno para su expansión .
El Mrengé Mayotte, practicado por la clase obrera, está firmemente enraizada en las tradiciones de la Isla 7. Como el Moraingy del norte de Madagascar, los profesionales desnudos para luchar con los puños con el sonido de dos o tres "Ngoma", que dan ritmo de combate.
http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf
La presencia de muchos descendientes de los colonos malgaches de origen Sakalava "después de la conquista de la isla por el Príncipe malgache Sakalava Andriantsoly que establece julio de 1832, con sus soldados y sus esclavos permite comprender l el desarrollo de mrengé en esta isla y otras islas, incluyendo Anjouan y Mohély donde se practica mucho en el siglo XIX .La presencia del Islam han sido un freno para su expansión .
El Mrengé Mayotte, practicado por la clase obrera, está firmemente enraizada en las tradiciones de la Isla 7. Como el Moraingy del norte de Madagascar, los profesionales desnudos para luchar con los puños con el sonido de dos o tres "Ngoma", que dan ritmo de combate.
http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf
Mrengé,Moraingy Islas Comoras e Isla Reunión
nota: ......colonos malgaches de origen Sakalava "después de la conquista de la isla Reunión por el Príncipe malgache Sakalava Andriantsoly que establece julio de 1832. http://saladepesquisacapoeira.blogspot.com/2008/11/le-moring-art-de-combat-afro-malgache.html
foto:Egypte Port-Saïd Camp des tirailleurs malgaches
Légende-Fête au camp des tirailleurs malgaches : danse guerrière des Grandes Comores (hommes) Auteur de la photo Winckelsen, Charles (code opérateur armée OS)
Date prise vue 1918.01
Légende-Fête au camp des tirailleurs malgaches : danse guerrière des Grandes Comores (hommes) Auteur de la photo Winckelsen, Charles (code opérateur armée OS)
Date prise vue 1918.01
L’origine du Mrengé remonte bien avant les débuts de la colonisation française. La proximité des régions nord de Madagascar, berceau du « moraingy » explique son expansion dans les îles comoriennes. De plus, la présence de nombreux descendants de colonisateurs malgaches d’origine « sakalava » après la conquête de l’Île par le prince malgache sakalava Andriantsoly qui s’y installe en juillet 1832, avec ses soldats et ses esclaves 4, permet de comprendre le développement du mrengé dans cette île et dans les autres îles de l’archipel, notamment à Anjouan et Mohély où il était beaucoup pratiqué au XIXe siècle 5. La présence ancienne de l’Islam a dû être un frein à son expansion6. Le mrengé a été toutefois pratiqué à Ngazidja – Grande Comore – le 26e jour du ramadan sous une forme de lutte à mains nues non codifiée (Nkodézaitsoma). Il opposait les femmes d’abord, les jeunes et enfin les hommes. À la différence du Mrengé de Mayotte où intervient un arbitre pour séparer les combattants après deux ou trois assauts, le combat comorien qui n’est plus dans les moeurs, était plus confus et le combat dégénérait souvent en véritables batailles rangées. Les participants oubliaient la signification du 26e jour du ramadan où l’ange Gabriel transmettait à Mahomet la révélation divine. Les combats des clans devaient rappeler aux participants les conditions dans lesquelles vivaient les hommes avant la révélation divine.Le Mrengé de Mayotte, pratiqué par les classes populaires, est fortement ancré dans les traditions de l’Île 7 . Comme le Moraingy du nord de Madagascar, les pratiquants utilisent les poings nus et combattent au son de deux ou trois « Ngoma », tambours qui donnent le rythme du combat. Un caisson en tôle, objet de récupération transformé en instrument de percussion, produit un son « métallique », soutenant le rythme des Ngoma. L’originalité réside parfois dans les chants qui accompagnent le son du tambour. La même gestuelle que l’on retrouve à La Réunion et à Madagascar s’observe à Mayotte. Les exécutants et la foule font un cercle à proximité des percussionnistes. À « Petite Terre », au quartier de « l’Abattoir », les préliminaires du combat peuvent durer plusieurs minutes pendant lesquels les musiciens chauffent la foule en accélérant le rythme des percussions 8 . Les jeunes du quartier se défient, sans agressivité apparente, en traversant plusieurs fois le cercle et en brandissant le poing droit vers le haut ou à l’horizontal, invitant un rival à se manifester. Un service d’ordre improvisé se met en place pour préparer le rond élargissant le cercle et repoussant les spectateurs en frappant le sol et les jambes des spectateurs d’une branche de feuillage qui soulève la poussière.
http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf.
http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf.
Zuavos Franceses(de varias colonias) estuvieron en Brasil ( Uruguai )
Estudios de historia moderna y contemporánea de México - Página 38de Universidad Nacional Autónoma de México. Instituto de Investigaciones Históricas - 2003
... algunos oficiales habían combatido con la Legión Extranjera Francesa en Argelia, Italia y Crimea, y otros participaban en el ejército de Brasil
FOTO: Un peloton de Haoussas, de la Force publique à Boma, commandé par le capitaine Avaert
... algunos oficiales habían combatido con la Legión Extranjera Francesa en Argelia, Italia y Crimea, y otros participaban en el ejército de Brasil
FOTO: Un peloton de Haoussas, de la Force publique à Boma, commandé par le capitaine Avaert
RECORTE LIBRO::Senegaleses en el ejercito francés van a Madagascar en 1828-: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k104754p.image.r=+lutte+madagascar.f2.langES
1825-1865-Comercio clandestino de esclavos
Nota del pesquisador:Mas abajo reflejamos las fechas de prohibición del tráfico y abolición de la esclavitud de varios países.Si bién dejamos un acceso a una tesis doctoral donde se repasa la piratería tanto de Europeos como de Brasileños relacionada con el tráfico de esclavos y otras maldades de corsarios.
Tesis:El desafío insurgente: análisis del corso hispanoamericano desde una perspectiva peninsular, 1812-1828
Autores: Autores: Feliciano Gámez Duarte
Directores de la Tesis: José Marchena Domínguez
Lectura: En la Universidad de Cádiz ( España ) en 2004
ISBN: 978-84-689-7231-2
Número de páginas: 631
http://dialnet.unirioja.es/servlet/oaites?codigo=396
Poco a poco, las naciones fueron aboliendo el tráfico de esclavos y luego la esclavitud. Inglaterra: 1807 y 1833; Francia: 1827 y 1848; Estados Unidos: 1812 y 1865; Dinamarca: 1802 y 1846; Brasil: 1850 y 1888, etc. A pesar de la supresión formal de la trata antes de la mitad de siglo, el gran explorador Livingstone afirmaba en 1857: “El interior está perdiendo todos los hombres capaces de trabajar. África se está desangrando por todos sus poros”. Y es que el comercio clandestino batía todas las marcas, porque la supresión de la trata hizo aumentar el precio de los esclavos. Entre 1825 y 1865 se vendieron de forma clandestina más de 1 millón de negros.
En 1817 nació la Sociedad Americana de Colonización, que recogió a los esclavos emancipados y, a partir de ellos, se fundó Liberia, en África. Inglaterra quiso trasladar su propia experiencia a los demás países, sirviéndose de su influencia en los Congresos y Conferencias internacionales, o mediante tratados bilaterales. En el plano práctico, empleó unos 30 navíos de guerra y 1.000 personas para reprimir el tráfico negrero entre 1808 y 1870. Si el buque negrero capturado era inglés, su capitán podía ser condenado a muerte a partir de 1828.
http://www.combonianos.com/MNDigital/revista/julio/200.html
Tesis:El desafío insurgente: análisis del corso hispanoamericano desde una perspectiva peninsular, 1812-1828
Autores: Autores: Feliciano Gámez Duarte
Directores de la Tesis: José Marchena Domínguez
Lectura: En la Universidad de Cádiz ( España ) en 2004
ISBN: 978-84-689-7231-2
Número de páginas: 631
http://dialnet.unirioja.es/servlet/oaites?codigo=396
Poco a poco, las naciones fueron aboliendo el tráfico de esclavos y luego la esclavitud. Inglaterra: 1807 y 1833; Francia: 1827 y 1848; Estados Unidos: 1812 y 1865; Dinamarca: 1802 y 1846; Brasil: 1850 y 1888, etc. A pesar de la supresión formal de la trata antes de la mitad de siglo, el gran explorador Livingstone afirmaba en 1857: “El interior está perdiendo todos los hombres capaces de trabajar. África se está desangrando por todos sus poros”. Y es que el comercio clandestino batía todas las marcas, porque la supresión de la trata hizo aumentar el precio de los esclavos. Entre 1825 y 1865 se vendieron de forma clandestina más de 1 millón de negros.
En 1817 nació la Sociedad Americana de Colonización, que recogió a los esclavos emancipados y, a partir de ellos, se fundó Liberia, en África. Inglaterra quiso trasladar su propia experiencia a los demás países, sirviéndose de su influencia en los Congresos y Conferencias internacionales, o mediante tratados bilaterales. En el plano práctico, empleó unos 30 navíos de guerra y 1.000 personas para reprimir el tráfico negrero entre 1808 y 1870. Si el buque negrero capturado era inglés, su capitán podía ser condenado a muerte a partir de 1828.
http://www.combonianos.com/MNDigital/revista/julio/200.html
Bobre,Berimbau Afro-Oriental en Madagascar
GRABADO: Isla Mauricio: Slaves singing and dancing the Sega:http://saladepesquisacapoeira.blogspot.com/2008/10/isla-mauricobobreel-berimbao-perdido.html
Bobre - Berimbau Afro-Malgache
Le “Bobr” (Bobre)
Autre Nom : “Bob”- “Sonbrér”.Autrefois, surtout utilisé par les conteurs, il est aujourd’hui dans le Maloya , Maloya-Musica y danza de Islas Reunión al son del bobre (Berimbau) , la voix de cet esclave qui murmure sa complainte. "
- Famille : Cordophone (Arc musical)- Origine : Afro-Malgache- Matériaux : L’arc est réalisé dans un bois dur et souple (Zavoka marron, bwa d’liane etc...) le résonateur est quant à lui, réalisé avec une calebasse.- Technique de jeu : Le musicien joue debout. Il maintient l’Arc d’une main (au dessus du résonateur) et frappe la corde de l’autre à l’aide d’une fine baguette appelée “Batavek”, cette main tient également un petit Hochet avec manche appelé “Kaskavèl”, “Kavia” ou “Kavir”. Le musicien effectue des variations de son en ouvrant ou fermant le résonateur (en appuyant l’ouverture de la calebasse sur le ventre), et en jouant avec la vibration de la corde à l’aide d’un doigt, d’un petit caillou ou d’une pièce métallique tenue par la main qui porte l’Arc. D’autres sons peuvent être obtenus en frappant le bois de l’arc ou le résonateur, avec le “batavèk”.- Dimension : (Modèle présenté) : Hauteur 150 cm.- Accessoires : “Batavèk” (baguette) - “Kaskavèl” (Hochet) - “Tigalé” (petite pierre ou piéce de monnaie).
Autre Nom : “Bob”- “Sonbrér”.Autrefois, surtout utilisé par les conteurs, il est aujourd’hui dans le Maloya , Maloya-Musica y danza de Islas Reunión al son del bobre (Berimbau) , la voix de cet esclave qui murmure sa complainte. "
- Famille : Cordophone (Arc musical)- Origine : Afro-Malgache- Matériaux : L’arc est réalisé dans un bois dur et souple (Zavoka marron, bwa d’liane etc...) le résonateur est quant à lui, réalisé avec une calebasse.- Technique de jeu : Le musicien joue debout. Il maintient l’Arc d’une main (au dessus du résonateur) et frappe la corde de l’autre à l’aide d’une fine baguette appelée “Batavek”, cette main tient également un petit Hochet avec manche appelé “Kaskavèl”, “Kavia” ou “Kavir”. Le musicien effectue des variations de son en ouvrant ou fermant le résonateur (en appuyant l’ouverture de la calebasse sur le ventre), et en jouant avec la vibration de la corde à l’aide d’un doigt, d’un petit caillou ou d’une pièce métallique tenue par la main qui porte l’Arc. D’autres sons peuvent être obtenus en frappant le bois de l’arc ou le résonateur, avec le “batavèk”.- Dimension : (Modèle présenté) : Hauteur 150 cm.- Accessoires : “Batavèk” (baguette) - “Kaskavèl” (Hochet) - “Tigalé” (petite pierre ou piéce de monnaie).
BOBRE ,otra cita: Página 222 The 'bobre,' which is a musical bow, is generally found everywhere - not only in the western Indian Ocean (where it goes by the Swahili name ...
Berimbau (Bobre) en ritos funerales -Madagascar
Voyage à Madagascar et aux îles Comores (1823 à 1830) Escrito por B. F. Leguével de Lacombe, Eugène de Froberville. http://books.google.es/books?id=jvwRAAAAYAAJ&printsec=titlepage&source=gbs_v2_summary_r&cad=0#v=onepage&q=&f=false
Barcos negreros en Madagascar
El 4 de setiembre de 1817, "La Argentina" atracó en el puerto de Tamatave, en la costa oriental de Madagascar. Allí inspeccionó cuatro barcos (tres ingleses y uno francés), ejerciendo el derecho de visita que Gran Bretaña y Estados Unidos aplicaban en África desde 1812. Bouchard comprobó que se trataba de barcos negreros, y entonces liberó a los esclavos y requisó los víveres. Cinco marineros de la goleta negrera francesa pidieron alistarse en "La Argentina", al conocer que su capitán era francés y luchaba por la libertad. En cuanto llegó la corbeta de guerra británica "Comway", Bouchard puso a su capitán al tanto de lo obrado y lo dejó al mando de las tareas de vigilancia. "La Argentina" entonces puso proa a Oriente en busca de navíos enemigos. Nuevamente debió afrontar fuertes tempestades, y durante la travesía del Océano Índico buena parte de la tripulación enfermó de escorbuto. Los alimentos empezaron a escasear: sólo quedaban galletas, demasiado duras para ser masticadas por los enfermos, que debían mojarlas para poder comerlas. No había día que no arrojaran un muerto al agua. El 18 de octubre, el capitán de un buque norteamericano les informó que hacía más de tres años que las naves españolas de la Compañía de Filipinas no traficaban en los puertos de la India. Hipólito Bouchard supo que debía llegar a dichas islas si quería encontrar españoles. El 7 de noviembre, con una tripulación diezmada, "La Argentina" fondeó en la isla Nueva de la Cabeza de Java. Desembarcaron a los enfermos y armaron tiendas de campaña. Tras unos días, fray Bernardo de Copacabana, sacerdote betlemita que hacía de médico a bordo, decidió probar con un singular método para recuperar a los enfermos: los enterró hasta el cuello en la arena. En palabras del propio Hipólito Bouchard: "el que era pasado totalmente del escorbuto murió al cabo de una hora desde que se hallaba en la tierra y los demás consiguieron mejorarse. Esta operación se repitió muchas veces hasta que los pobres podían servirse de sus miembros". Al mediodía del 7 de diciembre fueron atacados por piratas malayos, famosos por su crueldad. Bouchard no tenía artilleros sanos para emplear sus cañones, y entonces ordenó a sus hombres enfrentar el peligro con fusiles y armas blancas. El fuego nutrido impidió el abordaje de los piratas, cuyo comandante, al verse derrotado, se clavó dos puñaladas en el pecho y se arrojó al mar. Cinco de sus oficiales lo imitaron. Bouchard ordenó la toma de la nave y la reducción de los piratas derrotados. Otras cuatro embarcaciones escaparon. Siguiendo los usos y costumbres del mar, Hipólito Bouchard convocó un consejo de guerra que juzgó a los prisioneros. Probados sus crímenes (entre ellos, el asesinato de toda la tripulación de un barco portugués que ya se había rendido), el consejo sentenció a muerte a los piratas, con excepción de algunos menores que fueron recibidos como grumetes. Los piratas malayos fueron devueltos a su nave, a la que se le aserraron sus palos. Luego, Bouchard ordenó el fuego. Los piratas desaparecieron bajo las aguas gritando ALA¡¡ALA¡¡
http://www.quintadimension.com/televicio/index.php?id=150
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ALGUNAS CITAS SOBRE MADAGASCAR
NOTA :El pueblo SAKALAVA,practicante de la Lucha Moringue.
MADAGASCAR:
XVII y el siglo XVIII En el siglo XVII, ya se contaban numerosos reinos independientes. Se encontraban etnias de origen islámico arabo (Antambahoaka, Antemoro, Antanosy y Antesaka) en el sureste. Pueblos primitivos pastoriles en su mayoría como los Bara, los Mahafaly, los Antandroy y otros Masikoro se partían los territorios extensos del sur de la isla. Al oeste se extendían el inmenso reino Sakalava de Menabe y el de Boina, más reciente (siglo XVIII). En la costa oriental, los Betsimisaraka asentaban su autoridad mientras en las Altas Tierras, los reinos Betsileo y sobre todo Merina extendían su dominación. La trata de esclavos favorecía entonces una política de ensanche territorial y beneficiaba a los que disponían de armas de fuego. Así, la hegemonía Sakalava tenía una explicación en el control de los principales puestos de trata de la costa oeste con el apoyo de comerciantes Antalaotra. El reino Sakalava se habrá debilitado a fines del siglo XIX a causa de disputas de sucesión y de desventaja en relación con la inmensidad de los territorios ocupados por una población dispersa y nómada.
El siglo XIX era el siglo de la emergencia de la expansión del reino Merina. Primero gracias a la obra unificadora del soberano Andianampoinimerina (1786-1810) quien resumía su ambición territorial por la frase : “La mer sera la limite de ma rizière” (El mar será el límite de mi arrozal). Su hijo Radama I (1810-1828) había proseguido su obra al intentar conquistar toda la isla, ayudado por los Británicos en su política. Los tratados anglomalgaches de 1817 y 1820 le reconocían como siendo el rey de Madagascar y ofrecía una cooperación militar, cultural y religiosa. En cambio Radama I tenía que renunciar a la trata de esclavos. Así, las tropas del rey Radama I controlaron bastante fácilmente la costa oriental de la isla lo mismo que el conjunto de las Altas Tierras pero fracasaron en el extenso país Sakalava. El reino del “progresista” Radama I habrá sido de corta duración, seguido por el de la reina Ranavalona I (1828-1861) el cual se distinguía por una política muy tradicionalista, antieuropea y anticristiana. Más tarde, el Primer Ministro Rainilairaivony, quien se había casado sucesivamente con tres reinas, había conservado el poder durante más de treinta años (1864-1895).
Ataque Sakalava en las Islas Quirimbas
3 - AS INCURSÕES MALGAXES:(Sakalavas)
3.2 - A SEGUNDA EXPEDIÇÃO
...No dia 1º de Setembro desembarcaram na ilha de Querimba, assolando, roubando, matando, aprisionando tudo o que encontravam, assenhorando-se do batel de Manuel Onofre Pantoja, que estava fundeado no porto da mesma ilha, carregado de cauri, com a maior parte do seu fato, ao qual deitaram fogo e avariaram as embarcações que ali estavam. O dito Pantoja, Caetano José Cordeiro e o padre vigário escaparam da fúria destes bárbaros, à sua vista, no escalar do referido Cordeiro, que se transportou pelo passo que há para este Ibo e chegada à minha presença me narraram o sucedido e que o número de embarcações ou lacas era grande[142].
O povo do Ibo, no entanto, amedrontado e com receio de ser molestado, roubado e morto pelos Sakalava, elaborou e entregou uma representação ao Governador das lhas, do teor seguinte:
Representamos nós abaixo assinados moradores deste Ibo, que vendo a grande hostilidade que têm feito os Sakalaos desde a Arimba à Querimba; (...) considerando as forças que nós temos muito diminutas e, igualmente, o número de gente que não pode ser repartida com suficiência, assim na Praça como fora dela, à vista de sessenta lacas pelo que dizem os que viram, cujas forças são muito maiores, suplicamos a V.M. que haja por bem mandar recolher-nos com as nossas famílias na dita Praça, não obstante a ordem de V.M. que nós temos para defender, ficando-nos fora dela, porquanto de certeza perderemos as nossas vidas sem ser útil, assim para nós mesmos como para a defesa da dita Praça e assim ficando nela ao menos teremos vigor para resistir a qualquer ataque que os mesmos queiram tentar, executando nela todas as ordens de V.M[145].
3.3 - A TERCEIRA EXPEDIÇÃO
Baldados os seus propósitos, o Princípe de Anojasse, com os seus atacantes Sakalava, retirou-se para a ilha de Querimba (6ª vez visitada), donde, por três vezes, dirigiu, por um mensageiro, cartas ao Governador das Ilhas, pelas quais justificava as suas incursões à costa de Moçambique e às Ilhas:
...dizendo ao mesmo tempo que o vir aqui parar que é em razão de um vento sul muito forte que apanhou no canal, pelo que o seu desígnio quando de São Lourenço se dirigia a essa capital para tomar vingança do cheque de Sancul, que é o motivo de lhe não entregar a sua mulher e filha, nas mesmas cartas em que me pede por amor de Deus e pelos juramentos mais sagrados da sua Seita que interceda para com V. Exa. a entrega de sua mulher, filha e alguns escravos seus que com ela se acham[199].
Entrava-se no ano de 1818 e a notícia chegada de Quiloa[231], de que uma grande expedição com 1500 lakas viria este ano atacar as Ilhas, parece não ter impressionado o responsável pelo governo das Ilhas, que, nessa data, já estava a pensar na utilização do reduto de Santo António[232], que, com 7 peças, defenderia a entrada da vila pelo lado NW, local por onde costumavam entrar os Sakalava, vindos a pé, da Querimba .
http://br.geocities.com/quirimbashistoria/
3.2 - A SEGUNDA EXPEDIÇÃO
...No dia 1º de Setembro desembarcaram na ilha de Querimba, assolando, roubando, matando, aprisionando tudo o que encontravam, assenhorando-se do batel de Manuel Onofre Pantoja, que estava fundeado no porto da mesma ilha, carregado de cauri, com a maior parte do seu fato, ao qual deitaram fogo e avariaram as embarcações que ali estavam. O dito Pantoja, Caetano José Cordeiro e o padre vigário escaparam da fúria destes bárbaros, à sua vista, no escalar do referido Cordeiro, que se transportou pelo passo que há para este Ibo e chegada à minha presença me narraram o sucedido e que o número de embarcações ou lacas era grande[142].
O povo do Ibo, no entanto, amedrontado e com receio de ser molestado, roubado e morto pelos Sakalava, elaborou e entregou uma representação ao Governador das lhas, do teor seguinte:
Representamos nós abaixo assinados moradores deste Ibo, que vendo a grande hostilidade que têm feito os Sakalaos desde a Arimba à Querimba; (...) considerando as forças que nós temos muito diminutas e, igualmente, o número de gente que não pode ser repartida com suficiência, assim na Praça como fora dela, à vista de sessenta lacas pelo que dizem os que viram, cujas forças são muito maiores, suplicamos a V.M. que haja por bem mandar recolher-nos com as nossas famílias na dita Praça, não obstante a ordem de V.M. que nós temos para defender, ficando-nos fora dela, porquanto de certeza perderemos as nossas vidas sem ser útil, assim para nós mesmos como para a defesa da dita Praça e assim ficando nela ao menos teremos vigor para resistir a qualquer ataque que os mesmos queiram tentar, executando nela todas as ordens de V.M[145].
3.3 - A TERCEIRA EXPEDIÇÃO
Baldados os seus propósitos, o Princípe de Anojasse, com os seus atacantes Sakalava, retirou-se para a ilha de Querimba (6ª vez visitada), donde, por três vezes, dirigiu, por um mensageiro, cartas ao Governador das Ilhas, pelas quais justificava as suas incursões à costa de Moçambique e às Ilhas:
...dizendo ao mesmo tempo que o vir aqui parar que é em razão de um vento sul muito forte que apanhou no canal, pelo que o seu desígnio quando de São Lourenço se dirigia a essa capital para tomar vingança do cheque de Sancul, que é o motivo de lhe não entregar a sua mulher e filha, nas mesmas cartas em que me pede por amor de Deus e pelos juramentos mais sagrados da sua Seita que interceda para com V. Exa. a entrega de sua mulher, filha e alguns escravos seus que com ela se acham[199].
Entrava-se no ano de 1818 e a notícia chegada de Quiloa[231], de que uma grande expedição com 1500 lakas viria este ano atacar as Ilhas, parece não ter impressionado o responsável pelo governo das Ilhas, que, nessa data, já estava a pensar na utilização do reduto de Santo António[232], que, com 7 peças, defenderia a entrada da vila pelo lado NW, local por onde costumavam entrar os Sakalava, vindos a pé, da Querimba .
http://br.geocities.com/quirimbashistoria/
El tráfico ilegal de esclavos,Mayeur penetra en el Reino Imerína(1777)
recorte libro:Bible et pouvoir à Madagascar au XIXe siècle .
http://books.google.es/books?id=tQdjO_Et0d0C
Página 33 ML Nicolas Mayeur a peut-être été le premier Européen à pénétrer en Imerina, en septembre 1777. Il avait à peine quinze ans quand il arriva à Madagascar, ...
ARTÍCULO:
L'Utile, una embarcación de 800 toneladas y tres palos, fue construida en Baiona entre 1758 y 1759. Originalmente, estaba previsto que se incorporara a la Armada Francesa, pero, concluida la Guerra de los Siete Años entre las coronas francesa y británica, no se consideró necesario y fue vendida a la Compañía de las Indias Orientales, que comisionó como armador a su corresponsal en Baiona Jean-Joseph de Laborde. Nada más abandonar la capital laburdina, L'Utile hizo escala en Pasaia y, de ahí, armado con treinta cañones, partió definitivamente hacia el Indico, con el capitán Jean de Lafargue al mando de una tripulación constituida por unos 150 hombres. El genealogista Bernard Harnie-Cousseau, que colabora con el proyecto de investigación de Tromelin, ha constatado que en esa tripulación abundaban, lógicamente, los vascos, la mayoría de Baiona, pero también de Bilbo, Lekeitio, Ezpeleta, Baigorri o Angelu. Incluso ha localizado en Tarnos a algunos de sus descendientes. No obstante, tal y como era y es usual en la mar, era una tripulación multinacional y en ella había también holandeses, españoles, gallegos y bretones. L'Utile zarpó hacia el Indico con la prohibición expresa de traficar con esclavos, pero, tan pronto como llegó a Madagascar, se dedicó a ello. La noche del 31 de julio de 1761 naufragó en Tromelin, cuando llevaba sesenta personas esclavizadas en sus bodegas. Sesenta personas que terminaron abandonadas a su suerte y protagonizaron una trágica historia que concluyó cuando los últimos supervivientes fueron rescatados quince años después por La Dauphine.
http://www.gara.net/paperezkoa/20070212/2770/es/Los/esclavos/olvidados/comienzan/desvelar/algunos/secretos
http://books.google.es/books?id=tQdjO_Et0d0C
Página 33 ML Nicolas Mayeur a peut-être été le premier Européen à pénétrer en Imerina, en septembre 1777. Il avait à peine quinze ans quand il arriva à Madagascar, ...
ARTÍCULO:
L'Utile, una embarcación de 800 toneladas y tres palos, fue construida en Baiona entre 1758 y 1759. Originalmente, estaba previsto que se incorporara a la Armada Francesa, pero, concluida la Guerra de los Siete Años entre las coronas francesa y británica, no se consideró necesario y fue vendida a la Compañía de las Indias Orientales, que comisionó como armador a su corresponsal en Baiona Jean-Joseph de Laborde. Nada más abandonar la capital laburdina, L'Utile hizo escala en Pasaia y, de ahí, armado con treinta cañones, partió definitivamente hacia el Indico, con el capitán Jean de Lafargue al mando de una tripulación constituida por unos 150 hombres. El genealogista Bernard Harnie-Cousseau, que colabora con el proyecto de investigación de Tromelin, ha constatado que en esa tripulación abundaban, lógicamente, los vascos, la mayoría de Baiona, pero también de Bilbo, Lekeitio, Ezpeleta, Baigorri o Angelu. Incluso ha localizado en Tarnos a algunos de sus descendientes. No obstante, tal y como era y es usual en la mar, era una tripulación multinacional y en ella había también holandeses, españoles, gallegos y bretones. L'Utile zarpó hacia el Indico con la prohibición expresa de traficar con esclavos, pero, tan pronto como llegó a Madagascar, se dedicó a ello. La noche del 31 de julio de 1761 naufragó en Tromelin, cuando llevaba sesenta personas esclavizadas en sus bodegas. Sesenta personas que terminaron abandonadas a su suerte y protagonizaron una trágica historia que concluyó cuando los últimos supervivientes fueron rescatados quince años después por La Dauphine.
http://www.gara.net/paperezkoa/20070212/2770/es/Los/esclavos/olvidados/comienzan/desvelar/algunos/secretos
LAS TROUPES DE MARINE -FRANCE
foto: 1913-Soldados Malgaches Marsella-Fr. http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b69261315.r=malgaches.langES
Journal: defaite des Sakalaves
El origen de las tropas negras :El primer antecedente de empleo de nativos en las fuerzas de las colonias francesas en ultramar, se remonta a mediados del siglo XVIII, en que se organizó un cuerpo de cipayos en las posesión de la India (cipayo provienen de la voz persa “sipahi”, que significa "hombre de guerra"), pero dicho cuerpo se disolvió tras la Guerra de los 7 años, en que Francia tuvo que ceder los establecimientos de la India a Inglaterra (mejor dicho, a su Compañía de las Indias); esta experiencia puso de manifiesto que era posible crear cuerpos similares con otros indígenas de las colonias. La prueba se intentó en Guyana, donde no dió resultados alentadores, y luego se volvió a intentar en el Senegal, donde, durante el Segundo Imperio, se formón una Compañía de soldados negros (1853). Esta Compañía, años más tarde, se expandió a un cuerpo de infantería indígena que se denominó "Tiradores senegaleses", formado por cuatro compañías con oficiales blancos, y que tenían como uniforme una chéchia, una chilaba con capucha, estivo de los zouaves, un chaleco y un “boléro” de paño azul ribeteado de amarillo, y pantalones de los llamados "turcos" en cotonada o paño azul. El personal fue aumentado progresivamente, hasta formar un regimiento en 1884. También hubo Tiradores gaboneses (1887), haoussas (1891) annamitas, estos últimos formando un regimiento; tonkineses (1884), de los Voluntarios de la Reunión (1883-1885); Tiradores sakalaveses, que se emplearon durante la campaña de Madagascar de 1885, incluso Tiradores comorenses, de Diégo-Suarez.
http://www.militar.org.ua/foro/reduccion-infanteria-marina-sobredimensionada-t14647.html
El origen de las tropas negras :El primer antecedente de empleo de nativos en las fuerzas de las colonias francesas en ultramar, se remonta a mediados del siglo XVIII, en que se organizó un cuerpo de cipayos en las posesión de la India (cipayo provienen de la voz persa “sipahi”, que significa "hombre de guerra"), pero dicho cuerpo se disolvió tras la Guerra de los 7 años, en que Francia tuvo que ceder los establecimientos de la India a Inglaterra (mejor dicho, a su Compañía de las Indias); esta experiencia puso de manifiesto que era posible crear cuerpos similares con otros indígenas de las colonias. La prueba se intentó en Guyana, donde no dió resultados alentadores, y luego se volvió a intentar en el Senegal, donde, durante el Segundo Imperio, se formón una Compañía de soldados negros (1853). Esta Compañía, años más tarde, se expandió a un cuerpo de infantería indígena que se denominó "Tiradores senegaleses", formado por cuatro compañías con oficiales blancos, y que tenían como uniforme una chéchia, una chilaba con capucha, estivo de los zouaves, un chaleco y un “boléro” de paño azul ribeteado de amarillo, y pantalones de los llamados "turcos" en cotonada o paño azul. El personal fue aumentado progresivamente, hasta formar un regimiento en 1884. También hubo Tiradores gaboneses (1887), haoussas (1891) annamitas, estos últimos formando un regimiento; tonkineses (1884), de los Voluntarios de la Reunión (1883-1885); Tiradores sakalaveses, que se emplearon durante la campaña de Madagascar de 1885, incluso Tiradores comorenses, de Diégo-Suarez.
http://www.militar.org.ua/foro/reduccion-infanteria-marina-sobredimensionada-t14647.html
Fort-Dauphín -Madagascar la Semilla de la Capoeira,el Moringue Reunionés,la Ringa,el Moringue y el Diamanga malgaches y el Danmyé de Martinica
Los establecimientos comerciales para los víveres y los esclavos se ubicaron a lo largo de la costa este malgache hasta el sureste de Fort-Dauphín.Únicamente la compra de esclavos quedó como fín lucrativo para viajar rumbo a aguas malgaches.Dado que Madagascar esta situada al oeste de la más importante ruta de la navegación a vela de Europa a India y que esta ruta no es transitable por los vientos alisios desde el mes de abril hasta agosto,muchos barcos que habían sufrido una demora se refugiaban en las bahías de Madagascar.Poe ello ,los informes de náufragos europeos sobre los ataques y pillajes son incontables 23 .La isla de Saint Marie frente a la costa de Madagascar llego a ser el centro más importante de piratas a partir de 1698.Alrededor de 400 vivían allí en 1712,pero en 1720 el número de habitantes había crecido a 1200 personas..Habían sido expulsados de la zona caribeña por ingleses y franceses. 24
Nota:Encontramos en nuestra pesquisa los artes marciales indicados en el mapa que se encuentran justamente en los lugares de las rutas de los navíos de los imperios coloniales así como en las ruta ancestra de los malayos e hindúes que poblaron Madagascar.
http://redalyc.uaemex.mx/pdf/281/28100107.pdf
Nota:Encontramos en nuestra pesquisa los artes marciales indicados en el mapa que se encuentran justamente en los lugares de las rutas de los navíos de los imperios coloniales así como en las ruta ancestra de los malayos e hindúes que poblaron Madagascar.
http://redalyc.uaemex.mx/pdf/281/28100107.pdf
Pirata Samuel,Abraham
SAMUEL, Abraham (séculos XVII - XVIII) - Pirata francês de origem africana. Contramestre do navio John and Rebecca, do pirata inglês John Hoar, em 1697, sobreviveu a um ataque de nativos da Ilha de Santa Maria, próximo a Madagascar, no qual sucumbiram seu patrão e mais 30 membros de sua tripulação. Mais tarde, tido pela rainha de Madagascar como seu filho - levado como escravo, provavelmente para a Martinica, vinte anos antes - foi aclamado como "Rei Samuel", governando por um período não exatamente conhecido, antes de dezembro de 1706 (cf. J. Rogozinski). (Sem fonte precisa)
1506-1507-Diego Suarez lleva esclavos Malgaches a Indias.
África: Desde la prehistoria hasta los años sesenta - Página 316de Pierre Bertaux - 1994 - 376 páginas
Establecen relaciones comerciales irregulares con los malgaches (Diego Suárez lleva esclavos malgaches a las Indias y da su nombre a un puerto). ...
África: Desde la prehistoria hasta los años sesenta - Página 316de Pierre Bertaux - 1994 - 376 páginas
Establecen relaciones comerciales irregulares con los malgaches (Diego Suárez lleva esclavos malgaches a las Indias y da su nombre a un puerto). ...
Fort-Dauphín -Madagascar la Semilla de la Capoeira,el Moringue Reunionés,la Ringa,el Moringue y el Diamanga malgaches y el Danmyé de Martinica
Los establecimientos comerciales para los víveres y los esclavos se ubicaron a lo largo de la costa este malgache hasta el sureste de Fort-Dauphín.Únicamente la compra de esclavos quedó como fín lucrativo para viajar rumbo a aguas malgaches.Dado que Madagascar esta situada al oeste de la más importante ruta de la navegación a vela de Europa a India y que esta ruta no es transitable por los vientos alisios desde el mes de abril hasta agosto,muchos barcos que habían sufrido una demora se refugiaban en las bahías de Madagascar.Poe ello ,los informes de náufragos europeos sobre los ataques y pillajes son incontables 23 .La isla de Saint Marie frente a la costa de Madagascar llego a ser el centro más importante de piratas a partir de 1698.Alrededor de 400 vivían allí en 1712,pero en 1720 el número de habitantes había crecido a 1200 personas..Habían sido expulsados de la zona caribeña por ingleses y franceses. 24
Nota:Encontramos en nuestra pesquisa los artes marciales indicados en el mapa que se encuentran justamente en los lugares de las rutas de los navíos de los imperios coloniales así como en las ruta ancestra de los malayos e hindúes que poblaron Madagascar.
http://redalyc.uaemex.mx/pdf/281/28100107.pdf
Nota:Encontramos en nuestra pesquisa los artes marciales indicados en el mapa que se encuentran justamente en los lugares de las rutas de los navíos de los imperios coloniales así como en las ruta ancestra de los malayos e hindúes que poblaron Madagascar.
http://redalyc.uaemex.mx/pdf/281/28100107.pdf
Madagascar ,Aculturación Indonesia,Malaya,Arabe-Swahili
En 1500, dos años después que Vasco de Gama, el capitán portugués Diego Dias descubrió por azar la isla de Madagascar que, al parecer, había sido desconocida por Europa. Hasta comienzos del siglo XVII no establecieron los portugueses algunos puestos temporalmente. Los franceses trataron de establecerse en torno a Port-Dauphin en el tercer cuarto de dicho siglo; pero más tarde abandonaron el lugar y en él se asentaron algunos piratas expulsados de las Antillas (1687-1724). La isla de Madagascar, poco poblada, albergaba elementos de origen indonesio -cuya lengua emparentada con el malayo, acabó por imponerse- y africano, algunos de ellos arabizados, los swahilíes.
http://64.233.183.104/search?q=cache:gqcuf48QkVIJ:www.artehistoria.jcyl.es/historia/contextos/2179.htm+esclavitud+madagascar&hl=es&ct=clnk&cd=10&gl=es
http://64.233.183.104/search?q=cache:gqcuf48QkVIJ:www.artehistoria.jcyl.es/historia/contextos/2179.htm+esclavitud+madagascar&hl=es&ct=clnk&cd=10&gl=es
Comercio India-Costa Swahili-Océano Indico
LIBRO: Fuente extraviada (sorry)
...................No que a este pequeno artigo diz respeito, apenas me interessou reflectir sobre as «conexões imperiais» e saber se as dinâmicas sociais, políticas e económicas ocorridas em Moçambique, na Índia e no Brasil, poderiam ser impedidas pela centralidade do Império e pelas funções de administração da coroa, nos finais do século XVIII.
1. Vínculos de Moçambique ao espaço Índico setecentista.
Em Moçambique setecentista, o comércio e grande parte da vida económica esteve sob o domínio de uma minoria indiana oriunda do Guzerate[5].
Pelo menos desde 1686 - data em que o monopólio das viagens comerciais para a costa oriental africana passou da mão dos capitães das «praças do Norte» da Índia, para a dos comerciantes hindus e jainas, vulgarmente chamados de baneanes, a maioria residente em Damão e Diu -, foi manifestamente evidente a vitalidade da sua presença económica e social, em diversos domínios da economia moçambicana.
Do monopólio das viagens ao monopólio da actividade comercial na costa oriental africana, foi um pequeno passo. A coroa ainda tentou opor-se, mas, no fim de contas, sem grande sucesso. Com muito esforço e persuasão de vários governadores e vice-reis junto dos comerciantes reinóis que ainda possuíam alguma capacidade económica, gastos oito anos em consultas, reuniões e troca de correspondência entre Lisboa e Goa, o vice-rei D. Pedro António de Noronha de Albuquerque, lá conseguiu constituir uma Companhia de Comércio para os domínios ultramarinos do oriente, em 1694. O modelo queria-se inglês ou holandês, mas, ao contrário das suas congéneres, o consórcio não durou nem meia dúzia de anos. Quem leu a documentação sobre a constituição desta sociedade comercial e conhece a situação política e económica do Estado da Índia, facilmente conclui que a empresa estava destinada ao fracasso porque era notória a «falta de entusiasmo» dos comerciantes portugueses e porque os territórios de Macau e Timor recusaram-se a nela participar, o que restringiu imenso o âmbito da sua actuação.
http://www2.iict.pt/index.php?idc=102&idi=12905
1. Vínculos de Moçambique ao espaço Índico setecentista.
Em Moçambique setecentista, o comércio e grande parte da vida económica esteve sob o domínio de uma minoria indiana oriunda do Guzerate[5].
Pelo menos desde 1686 - data em que o monopólio das viagens comerciais para a costa oriental africana passou da mão dos capitães das «praças do Norte» da Índia, para a dos comerciantes hindus e jainas, vulgarmente chamados de baneanes, a maioria residente em Damão e Diu -, foi manifestamente evidente a vitalidade da sua presença económica e social, em diversos domínios da economia moçambicana.
Do monopólio das viagens ao monopólio da actividade comercial na costa oriental africana, foi um pequeno passo. A coroa ainda tentou opor-se, mas, no fim de contas, sem grande sucesso. Com muito esforço e persuasão de vários governadores e vice-reis junto dos comerciantes reinóis que ainda possuíam alguma capacidade económica, gastos oito anos em consultas, reuniões e troca de correspondência entre Lisboa e Goa, o vice-rei D. Pedro António de Noronha de Albuquerque, lá conseguiu constituir uma Companhia de Comércio para os domínios ultramarinos do oriente, em 1694. O modelo queria-se inglês ou holandês, mas, ao contrário das suas congéneres, o consórcio não durou nem meia dúzia de anos. Quem leu a documentação sobre a constituição desta sociedade comercial e conhece a situação política e económica do Estado da Índia, facilmente conclui que a empresa estava destinada ao fracasso porque era notória a «falta de entusiasmo» dos comerciantes portugueses e porque os territórios de Macau e Timor recusaram-se a nela participar, o que restringiu imenso o âmbito da sua actuação.
http://www2.iict.pt/index.php?idc=102&idi=12905
pag 37-38
http://books.google.com/books?id=4BoQAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=%22cornelio+hutman%22&hl=es&source=gbs_book_other_versions_r&cad=1_2#PPA37,M1
OTRA FUENTE:http://books.google.es/books?id=EN5JAAAAIAAJ&pg=PA107&lpg=PA107&dq=ombises+madagascar&source=bl&ots=N2iuq78n3c&sig=hiQqoCW5wbRKc4Vo1UxQdN6w5bQ&hl=es&sa=X&oi=book_result&resnum=2&ct=result#PPA78,M1
http://books.google.com/books?id=4BoQAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=%22cornelio+hutman%22&hl=es&source=gbs_book_other_versions_r&cad=1_2#PPA37,M1
OTRA FUENTE:http://books.google.es/books?id=EN5JAAAAIAAJ&pg=PA107&lpg=PA107&dq=ombises+madagascar&source=bl&ots=N2iuq78n3c&sig=hiQqoCW5wbRKc4Vo1UxQdN6w5bQ&hl=es&sa=X&oi=book_result&resnum=2&ct=result#PPA78,M1
O tráfico de escravos entre Pernambuco e a Costa da Mina
libro: Página 615 Manoel de Sousa Coutinho pa. q os Casados e mores, ...1663-Comercio entre Mozambique y Madagascar( Sao Lourenço)
O tráfico de escravos entre Pernambuco e a Costa da Mina: notas e comentários à palestra Nas Margens da História: o tráfico de escravos e a economia de Pernambuco na dinâmica do Império atlântico português (1655-1755),
de Gustavo Acioli.
A primeira questão diz respeito ao argumento que apresenta como sendo oposto à historiografia brasileira da última década e que diz respeito ao facto do «tráfico bipolar encetado pelas capitanias do Brasil não constituir, aos olhos da coroa e seus agentes, um elemento contrário ao sistema colonial». Ou seja, que «o tráfico realizado pelos súbditos do Brasil [foi sempre] considerado como parte integrante da condição colonial e necessário à reprodução das estruturas do império português».
Contudo, o argumento do tráfico bipolar, aqui transformado em teoria, não parece resistir aos estudos mais recentes sobre a dinâmica e a complexidade das construções económicas, políticas e sociais do império colonial português. Ao usar o conceito de tráfico bipolar entre as capitanias do Brasil e a Costa da Mina, ou a noção de comércio triangular e bilateral envolvendo também Portugal, Gustavo Acioli parece não ter em conta a fluidez das redes de financiamento do tráfico negreiro. O que existia era um enorme mercado ultramarino que se expandia e retraía com extrema maleabilidade, um mercado com múltiplos pólos de oferta e de procura de mercadorias: Lisboa, Rio de Janeiro, Baía, Pernambuco, Luanda, Moçambique, Goa e Macau. Um mercado que, em muitos pontos, extravasava mesmo o domínio ou a influência política portuguesa, em particular quando se situava nos sertões africanos, ou mesmo, em diversos portos da Índia, nomeadamente Surrate, Bombaim ou Bengala.
http://64.233.183.132/search?q=cache:983_IAXKP5wJ:www2.iict.pt/%3Fidc%3D102%26idi%3D13546+navios+por+ano+carregados+de+escravos&hl=es&ct=clnk&cd=16&gl=es
de Gustavo Acioli.
A primeira questão diz respeito ao argumento que apresenta como sendo oposto à historiografia brasileira da última década e que diz respeito ao facto do «tráfico bipolar encetado pelas capitanias do Brasil não constituir, aos olhos da coroa e seus agentes, um elemento contrário ao sistema colonial». Ou seja, que «o tráfico realizado pelos súbditos do Brasil [foi sempre] considerado como parte integrante da condição colonial e necessário à reprodução das estruturas do império português».
Contudo, o argumento do tráfico bipolar, aqui transformado em teoria, não parece resistir aos estudos mais recentes sobre a dinâmica e a complexidade das construções económicas, políticas e sociais do império colonial português. Ao usar o conceito de tráfico bipolar entre as capitanias do Brasil e a Costa da Mina, ou a noção de comércio triangular e bilateral envolvendo também Portugal, Gustavo Acioli parece não ter em conta a fluidez das redes de financiamento do tráfico negreiro. O que existia era um enorme mercado ultramarino que se expandia e retraía com extrema maleabilidade, um mercado com múltiplos pólos de oferta e de procura de mercadorias: Lisboa, Rio de Janeiro, Baía, Pernambuco, Luanda, Moçambique, Goa e Macau. Um mercado que, em muitos pontos, extravasava mesmo o domínio ou a influência política portuguesa, em particular quando se situava nos sertões africanos, ou mesmo, em diversos portos da Índia, nomeadamente Surrate, Bombaim ou Bengala.
http://64.233.183.132/search?q=cache:983_IAXKP5wJ:www2.iict.pt/%3Fidc%3D102%26idi%3D13546+navios+por+ano+carregados+de+escravos&hl=es&ct=clnk&cd=16&gl=es
Malgaches en Batavia
libro: (pag 269,270)
Sons, formas, cores e movimentos na modernidade Atlântica Escrito por Júnia Ferreira Furtado, Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de Minas Gerais, Universidade Federal de Minas Gerais. Programa de Pós-Graduação em História, Universidade Federal de Minas Gerais
Sons, formas, cores e movimentos na modernidade Atlântica Escrito por Júnia Ferreira Furtado, Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de Minas Gerais, Universidade Federal de Minas Gerais. Programa de Pós-Graduação em História, Universidade Federal de Minas Gerais
mapa:
Posesiones holandesas, con las posesiones de la Compañía holandesa de las Indias Orientales en color verde pálido, rodeando el Océano Índico más Santa Helena en el Atlántico medio.
Posesiones holandesas, con las posesiones de la Compañía holandesa de las Indias Orientales en color verde pálido, rodeando el Océano Índico más Santa Helena en el Atlántico medio.
En el siglo XVII, Batavia (Yakarta), asiento de la sede del gobernador-general y el Consejo de las Indias. O comercio de los países asiáticos. Como directores de empresa dio a entender en Batavia en 1648, "El comercio de los países y el beneficio de él son el alma de la Compañía que deben ser examinados después de la atención .” plenamente, porque si se descompone el alma, el cuerpo entero será destruido. " 20
El holandés del Océano Índico señaló sistema esclavista de mano de obra cautiva
la vinculación y la superposición de tres circuitos de las subregiones: la occidental de África del circuito de África Oriental, Madagascar, y el de Mascarene Islas (Mauricio y Reunión); el centro, del sur de Asia del circuito el subcontinente indio (Malabar, Coromandel, y la Bengal/Ara-
kan coast);y el más oriental, el Sudeste Asiático circuito de Malasia, Indonesia, . Indonesia, Nueva Guinea (Irian Jaya), y el sur de Filipinas.
http://wysinger.homestead.com/slavery_dutch.pdf
El holandés del Océano Índico señaló sistema esclavista de mano de obra cautiva
la vinculación y la superposición de tres circuitos de las subregiones: la occidental de África del circuito de África Oriental, Madagascar, y el de Mascarene Islas (Mauricio y Reunión); el centro, del sur de Asia del circuito el subcontinente indio (Malabar, Coromandel, y la Bengal/Ara-
kan coast);y el más oriental, el Sudeste Asiático circuito de Malasia, Indonesia, . Indonesia, Nueva Guinea (Irian Jaya), y el sur de Filipinas.
http://wysinger.homestead.com/slavery_dutch.pdf
Luchas Malgaches-primera mención
En 1658,Flacourt había observado las luchas malgaches en la région de l’Annosy."Ellos están luchando en las aldeas, con golpes y hacen la "mitoulou" que es la lucha tanto de hombres contra hombres como mujeres contra la mujeres. "Este testimonio, una de las más antiguas prácticas existentes sobre la lucha en Madagascar, muestra que los europeos que llegaron a las islas no vieron en esta lucha« mitolona » un ajuste de cuentas entre personas de modesta condición social.http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf.Étienne de Flacourt: Nació en Orleans en 1607 en una familia noble y murió en el mar el 10 de junio de 1660 frente a Lisboa, Flacourt de Étienne Chevalier es un director francés que actúa como jefe de la colonia de Madagascar y que los historiadores atribuyen el segundo o tercer premio de la posesión por parte de Francia de la isla de Reunión en el Océano Índico. Durante su mandato, escribió un libro de presentación para la que fue a veces naturalista, a veces geógrafo.http://fr.wikipedia.org/wiki/Étienne_de_Flacourt
gravado:[Pl. dépl. en reg. p.316 :]Réduction des habitans de la province de Careanossi en l'isle de Madagascar (...). [Cote : Réserve A 200 388]
http://visualiseur.bnf.fr/CadresFenetre?O=IFN-2300689&I=15&M=imageseule
NOTA:
1643-Fondation de Fort-Dauphin sur l’île de Madagascar (1643-1674)
Comptoir français sur l’île Sainte-Marie de Madagascar
1652-Le Hollandais Jan van Riebeeck fonde un établissement permanent au cap de Bonne-Espérance, au nom de la Compagnie hollandaise des Indes orientales
1658-Publication de L’histoire de la grande île de Madagascar, par Flacourt.
http://gallica.bnf.fr/VoyagesEnAfrique/
gravado:[Pl. dépl. en reg. p.316 :]Réduction des habitans de la province de Careanossi en l'isle de Madagascar (...). [Cote : Réserve A 200 388]
http://visualiseur.bnf.fr/CadresFenetre?O=IFN-2300689&I=15&M=imageseule
NOTA:
1643-Fondation de Fort-Dauphin sur l’île de Madagascar (1643-1674)
Comptoir français sur l’île Sainte-Marie de Madagascar
1652-Le Hollandais Jan van Riebeeck fonde un établissement permanent au cap de Bonne-Espérance, au nom de la Compagnie hollandaise des Indes orientales
1658-Publication de L’histoire de la grande île de Madagascar, par Flacourt.
http://gallica.bnf.fr/VoyagesEnAfrique/
A fronda dos mazombos Escrito por Evaldo Cabral de Mello
A fronda dos mazombos Escrito por Evaldo Cabral de Mello http://books.google.es/books?id=72jSAvuUAuoC&printsec=frontcover&source=gbs_summary_r&cad=0
cita: Nesse sentido,os comerciantes holandeses procuraram estimular os colonos ingleses e franceses do Caribe a produzir açúcar.Ainda durante a ocupação do Brasil, na segunda metade da década de 1640, os mercadores holandeses transmitiram as técnicas dos engenhos brasileiros aos colonos ingleses de Barbados e aos franceses da Martinica((1)-nota del pesquisador) e Guadalupe,além de abastecê-los com escravos trazidos dos entrepostos da WIC no golfo da Guiné.A partir da década de 1660,a produção de açúcar com mão-de obra escrava nas ilhas inglesas e francesas verificou crescimento notável, além de os mercadores desses dois países passarem a envolver-se diretamente no tráfico negreiro transatlântico. No começo do século XVIII, a paisagem física e humana do Caribe havia se modificado completamente: as ilhas converteram-se em imensos canaviais e a população tornou- se esmagadoramente negra, quase toda ela escravizada11.
(1)-MARTINICA- Se practica el Ladja o Daynmé ,de la misma corporaleidad que la capoeira regional y supuestamente de origen del Moringue Reunionés.En Madagascar,el Diamanga es un arte marcialde procedencia malaya y trabaja los golpes con los piés.
Carabelha Nossa Senhora da Esperança
No ano de 1613, por determinação do vice-rei D. Jerónimo de Azevedo, largou de Goa para a ilha de São Lourenço - hoje Madagascar - a caravela Nossa Senhora da Esperança, onde ia por capitão o conceituado piloto Paulo Rodrigues da Costa, especialmente incumbido de proceder a minucioso reconhecimento das costas daquela ilha, ao mesmo tempo ir investigando se lá havia portugueses de navios que tinham desaparecido em viagens de ida ou regresso nos caminhos da Índia, ou descendentes deles, e, finalmente, indagar das possibilidades de trazes à fé cristã as gentes que lá viviam.Assim são os seguintes, os documentos transcritos neste nosso trabalho:- Diário da Viagem da Caravela Nossa Senhora da Esperança Mandada ao Descobrimento da Ilha de São LOurenço pelo vice-rei D. Jerónimo de Azevedo em 1613;- Relação da Jornada e Descobrimento da Ilha de São Lourenço que o Vice-rei da Índia D. Jerónimo de Azevedo Mandou Fazer por Paulo Rodrigues da Costa Capitão e Descobridor;- Carta de Paulo Rodrigues da Costa, aescrita a el-Rei D. Filipe IIº, de Portugal;- Carta de el-Rei D. Filipe IIº, de Portugal dirigida ao Vice-rei D. Jerónimo de Azevedo;- Relação do 2º descobrimento que o Sºr Vice-Rey Dom Jerónimo d'Azevedo mandou fazer à Ilha de São Lourenço o ano de 1616;- Roteiro da Costa Ocidental da Ilha de S. Lourenço, redigido pelo Pe. Jesuíta Luís Mariano.1
1) LIBRO:Dois Descobrimentos da Ilha de São Lourenço mandados fazer pelo Vice-Rei D. Jerónimo de Azevedo nos anos de 1613 a 1616 (Os)
Autor: Humberto Leitão.
1) LIBRO:Dois Descobrimentos da Ilha de São Lourenço mandados fazer pelo Vice-Rei D. Jerónimo de Azevedo nos anos de 1613 a 1616 (Os)
Autor: Humberto Leitão.
http://nenu1621.blogspot.com/2008/08/personalia-d-jernimo-de-azevedo.html
Ano de Publicação: 1970
ISBN/ISSN: 972-672-049-4
Ano de Publicação: 1970
ISBN/ISSN: 972-672-049-4
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